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Oui, tout adaptation de poste comme le mi-temps thérapeutique ou l’adaptation du poste de travail du salarié doit être rapporter au médecin du travail pour information.
Selon une étude publiée en septembre 2011 par l’Association Internationale de la Sécurité Sociale (AISS), les actions menées par les entreprises en faveur de la santé et de la sécurité leur procurent des avantages microéconomiques, avec un ratio (ROP) de 2.2. Cela signifie concrètement que vous pouvez espérer un retour potentiel de 2,2 euros pour chaque euro investi dans la prévention, par année et par salarié.
L’adage selon lequel « Mieux vaut prévenir que guérir », ne peut pas mieux s’appliquer à votre situation.
Oui, l’attestation de suivi et l’avis d’aptitude sont délivrés à un poste de travail dans l’entreprise. En cas de changement de ce poste, la visite n’est plus valable.
Non, il n’y a pas lieu de refaire une visite d’embauche lorsque le CDD d’un salarié est transformé en CDI pour le même poste.
Si le salarié est exposé à un ou plusieurs risques particuliers (R4624-23 Code du travail), un suivi individuel renforcé sera mis en place. A défaut, le salarié bénéficiera d’un suivi individuel simple.
Cliquez ici pour découvrir le schéma sur le suivi de santé travail
Oui.
Le temps passé au Service de Santé au Travail, que ce soit pour un rendez-vous de suivi individuel santé travail ou pour des examens complémentaires est :
De la même façon, les frais de déplacements nécessités par ces examens sont pris en charge par l’entreprise (article L.4122-2 du Code du travail).
Oui, par le biais du formulaire de demande de visite.
Dans le paragraphe des renseignements du rendez-vous, vous pouvez cocher “à la demande de l’employeur” et y joindre une note explicative motivant votre demande. Ces visites font partie de votre cotisation annuelle.
Oui.
Selon les articles L.4622-1 et L.4622-6 du Code du travail, l’employeur a l’obligation d’adhérer à un service de santé au travail et d’en supporter le coût. Pour cela, l’employeur a la possibilité de créer un service de santé au travail autonome (au-delà de 500 salariés) ou d’adhérer à un service de santé au travail interentreprises (en deçà de 500 salariés).
C’est la localisation géographique de l’entreprise qui va déterminer le choix du service de santé au travail interentreprises auquel celle-ci doit adhérer. Ces services ont en effet reçu la délivrance d’un agrément par la DIRECCTE (Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi) pour exercer sur un territoire déterminé (compétence géographique).
La visite de reprise est obligatoire dans des cas très précis :
Cette visite permet de vérifier la compatibilité du poste de travail d’un salarié avec son état de santé.
En cas d’inaptitude du salarié, elle permet de trouver des solutions d’aménagement, d’adaptation ou de reclassement du salarié.
Elle doit être demandée par l’employeur et doit être réalisée le jour de la reprise du travail ou dans un délai de 8 jours après, par le médecin du travail.
Comme l’exige le Code du travail, l’employeur doit déclarer la totalité de son personnel (déclaration des effectifs) et régler la cotisation à son Service de Santé au Travail chaque année.
La cotisation n’est pas liée à la visite médicale. La mission du Service de Santé au Travail va bien au-delà des visites médicales cliniques ou du suivi individuel des salariés.
Cliquez ici pour visionner une vidéo afin de comprendre l’utilité de la cotisation
Vous pouvez solliciter votre Service de Santé au Travail pour diverses actions : diagnostic, formations secouriste, mesure de bruit, ergonomie, psychologie… Voir “offre de services”.
C’est à l’employeur depuis le portail adhérent. Retrouvez le tutoriel pour demander un rendez-vous en ligne en cliquant ici
Il est tenu à une obligation de résultat en ce qui concerne la santé et sécurité de ses salariés.
Il doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la préservation de la sécurité, de la santé physique et mentale des travailleurs via la mise en œuvre des principes généraux de prévention (L4121-1 Code du travail et L4121-2 Code du travail ) :
L’apprenti bénéficie d’un suivi individuel adapté.
1. L’apprenti n’est pas exposé à des travaux nécessitant des dérogations :
L’apprenti est mineur : sa première visite d’information et de prévention doit avoir lieu préalablement à l’affectation au poste. Par la suite, son suivi individuel sera adapté par le médecin du travail en fonction de son état de santé, ses conditions de travail ou les risques auxquels il est exposé.
L’apprenti est majeur : il bénéficie d’une visite d’information et de prévention dans les 2 mois suivant sa prise de fonction.
2. L’apprenti est exposé à des travaux nécessitant des dérogations :
L’apprenti est mineur : un examen médical d’aptitude à l’embauche doit avoir lieu préalablement à l’affectation au poste.
L’apprenti majeur bénéficie d’un examen médical d’aptitude tous les 4 ans avec une visite intermédiaire tous les 2 ans.
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